Une étrange étude révèle ce que les hommes ressentent lorsqu’ils sont « dans une femme »… les termes utilisés sont drôles et insolites mais à la fois très parlants… lisez plutôt :
Quels sont les premiers mots qui leur viennent à l’esprit, comme ça, à froid ? « Chaleur, douceur, humidité », on pouvait s’en douter. Mais aussitôt ils précisent. Les uns « soie », les autres « velours ». Tous d’accord pour dire que « la texture » est fondamentale, et différente avec chaque femme.
«En fait, il y a autant de sensations que de femmes. La sécheresse, la gourmandise, l’envie… Les sept péchés capitaux. (Rires.) Quand tu tombes sur l’avarice, dommage…» (Edouard, 41 ans)
«Il y a des vagins agressifs, d’autres enfantins, un peu apeurés, certains où on flotte, où on ne sent rien. Il y en a qui vibrent, certains qui enserrent plus, certains qui éjaculent… J’arrive aujourd’hui à deviner un peu le sexe d’une femme à sa personnalité: timide, élégant, animal, brutal, coquin… Son sexe fait partie de ce que j’aime en elle, comme sa taille, ses hanches, ses seins, sa peau.» (Emmanuel, 52 ans)
«J’ai connu une fille avec un vagin granuleux, ça me dérangeait: j’avais l’impression d’être dans un gant avec du sable…» (Pascal, 36 ans)
«Il y a aussi les parfums, les odeurs. C’est difficile d’isoler la sensation de pénétration de tout ce qui l’entoure. C’est global.» (Julien, 34 ans)
«C’est fluide, enveloppant.» (Bernard, 28 ans)
«C’est absorbant, ça vibre.» (Pascal)
«On ne sent pas de fond, juste des bords.» (Edouard)
«Avec ou sans préservatif, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances…» (Julien)
«La pression, la chaleur, la manière dont elle joue avec… C’est ce qui fait toute la différence. Caressant ou pas, coulissant ou pas. Plus ou moins humide: trop, ce n’est pas confortable, tu es dans une mare, tu ne sens plus rien.» (Pascal)
Leur ventre, c’est un monde complètement fermé, où tu es bien connu et où tu te reconnais.» (Paul, 47 ans)
«Contrairement à la sodomie, où ce qui est vertigineux c’est l’idée de pouvoir toujours aller plus loin, au fond d’un vagin,on a la sensation d’être dans une gaine.» (Julien)
«Ce n’est pas une grotte… Plutôt un cocon humide qui évoque le mollusque, le coquillage. Ça sent la mer, l’élément originel. C’est peut-être pour ça que c’est si rassurant l’odeur d’un vagin, presque émouvant.» (Emmanuel, 52 ans)
«La pénétration, c’est une plongée en apnée. Tu prends une bouffée d’air avant, et tu y vas. Tu entres dans un univers liquide qui t’aspire, comme un aimant. Elle, elle s’ouvre un peu comme un lotus, et là tu expires. C’est un univers familier, une sensation tellement naturelle, peut-être parce qu’un jour -lointain on est déjà passé par là, tout entier…» (Pascal)
«Notre premier rapport à ce monde aquatique, c’est d’en sortir. Là, on va vers l’aventure: on y entre ! (Rires.) Et on -s’arrange pour y être le mieux possible » (Edouard)
«Plus c’est serré mieux c’est. Il y a des sexes où on se sent comme aspiré à l’intérieur. On se sent plus désiré.» (Julien)
« Tout est dans la contraction, le rythme qui crée une caresse tout le long du sexe. Comme dans la masturbation. On découvre la sexualité avec nos mains, c’est un jeu de -pression. (Rires.) Non, ce n’est pas une question d’âge mais de bonne volonté. Il y a des exercices tout simples pour muscler le -vagin, et même des joujoux conçus pour. L’idée c’est d’être dans un vagin actif, vivant, qui ne subit pas.» (Edouard)
«Plus ou moins étroit, moi je m’en fous. Ce qui compte c’est comment on fait l’amour ensemble: est-ce qu’on se lâche ou pas… Même avec la même personne, c’est toujours différent. Aimer sa partenaire c’est un plus. Mais je crois aussi à l’histoire d’une nuit. L’abandon et la perte de soi peuvent parfois aller plus loin.» (Bernard)
«Moi j’adore les sexes bien épilés, doux, accueillants. Et sentir l’humidité qui monte, comme une vague. Il y a des vagins qui vous aiment, qui aiment votre sexe. Ils vous aimantent, et on les quitte à regret… J’aime de plus en plus le sexe féminin. Un partenaire faussement silencieux, jamais soumis. Il s’ouvre, se ferme: c’est lui qui fait tout…» (Emmanuel)
«Quelle que soit ta partenaire et la qualité du rapport, c’est surtout tes propres sensations que tu perçois. Jamais tu n’es si proche et si à l’écoute de toi-même.» (Paul)
«La pénétration, c’est un aboutissement. En termes de chasse, c’est le coup de fusil… (Rires.) Pour en arriver là tu as pataugé des heures dans la forêt. Et enfin, ce n’est plus elle qui te balade, c’est toi qui décides! Surtout avec une nouvelle partenaire, c’est une jubilation. Une fierté. Ç’a à voir avec la domination, la virilité. La femme te fait confiance, elle s’offre. Quand tu entres en elle, tu peux la sentir s’ouvrir… Tu ressens forcément une forme de puissance. Tu deviens machiste même si tu n’es pas macho. Inconsciemment tu te dis: « C’est moi le mec, je vais la prendre, la déchirer. »» (Pascal)
«Qu’on soit dans la séduction ou avec une femme qu’on connaît depuis quinze ans, c’est toujours l’aboutissement. Le moment intense où on passe à la fusion, à l’alchimie. L’essentiel pour moi, c’est de retarder le plus possible cet instant « le glissement progressif du plaisir »… Et là, à l’instant T, ce qui est intéressant c’est la résistance. La sensation de ce corps fermé qui s’ouvre (qu’on ouvre). Et ce n’est jamais gagné. Ce que j’adore c’est entrer et sortir juste le bout de mon sexe. Rester à l’orée, d’elle et de moi. Un jeu très jouissif: j’y vais, j’y vais pas. Un jeu sur le temps.» (Paul)
«C’est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec une fille. Jusque-là, tu es dans le jeu de séduction, dans la démonstration, tout est exacerbé pour conquérir l’autre. Et soudain tu es moins dans le jeu. C’est là que tout commence (ou tout avorte).» (Bernard)
«On obtient de la partie adverse un truc sacrificiel. C’est la même symbolique depuis des lustres.» (Edouard)
«J’adore regarder mon sexe qui entre en elle, c’est toujours aussi magique pour moi. Observer la vigueur de mon sexe qui la pénètre. Ce pont entre nous. Comme si mon sexe devenait extérieur à moi, un être à part entière.» (Emmanuel)
«Qu’est-ce que je ressens, alors? Du plaisir! (Rires.) C’est génial d’être en communion, noyé dans l’autre, en fusion. Hyperattentif au -moindre tressaillement… Il peut arriver aussi qu’on s’ennuie. Qu’on ne jouisse pas (c’est d’ailleurs très mal pris par les filles…). Il m’est déjà arrivé de bâiller, et même une fois de m’endormir (dans le désert d’une histoire perdue). Ce n’est pas juste un truc mécanique, être dans une femme. Le plaisir n’est pas garanti. Tout dépend de la manière dont les corps s’entrechoquent et de ce qui se passe dans l’esprit… Parfois c’est elle qui reprend le dessus, qui impose les choses. Tu peux te faire baiser… (Rires.)» (Bernard)
«Dans la tête, c’est toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Moi je suis un cérébral. Parfois me traverse l’idée que je coupe l’autre en deux. Je suis le marteau de Thor à moi tout seul. (Rires.) Parfois c’est le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l’œil quand tu reviens… Et cette humidité… Tu mesures l’envie, la correspondance. Tout le reste c’est un jeu de contractions. Pourquoi croyez-vous qu’on vous tape sur les fesses, qu’on vous tire les cheveux, qu’on donne un coup de reins plus fort? C’est pour obtenir une contraction. (Rires.) Parfois on se sent comme aspiré. C’est délicieux. » (Edouard)
«Quelle douceur d’être dedans! Ce n’est pas seulement moi qui la pénètre mais elle qui m’accueille, me veut en elle, me prend… Mon plaisir est très lié à l’envie qu’elle a de moi. Il y a une sensation que j’arrive à isoler, très agréable: lorsque le gland vient cogner contre le col de l’utérus. Surtout à certaines phases du cycle, quand il est ouvert. J’ai l’impression alors que le col m’aspire et que je pourrais aller très, très loin… Les mouvements aussi entrent en jeu. Comment elle -bouge. J’ai plus de sensations lorsque les mouvements sont lents. Quand la fille demande un va-et-vient plus violent, le plaisir est plus psychologique. C’est sa façon de s’abandonner qui comble. Quand je la sens trembler, frissonner, miauler, crier, j’ai toutes les sensations -décuplées.» (Julien)
«Plus je vieillis, plus j’adore rester, sans forcément aller et venir en elle. Il m’est même arrivé de ne plus savoir qui était en qui. J’ai parfois l’impression d’être totalement passif. Un jour une fille m’a dit: « C’est moi qui ai ton sexe. » C’est ça, oui: comme si je leur donnais mon sexe un moment, comme on donne la main…» (Emmanuel)
«J’adore poser ma main sur son ventre quand je suis en elle, pour sentir mon pénis en elle.» (Pascal)
«C’est la trêve du malentendu. L’osmose. Une alchimie digne d’un parfum. Etre dans une femme, ça évoque pour moi quelque chose de rond, de parfait.» (Sébastien, 35 ans)
«C’est un langage muet, un accès direct à l’âme.» (Edouard)
«Dans le ventre d’une femme, tu détectes tout: l’ennui, la simulation, l’orgasme. Comme si ton sexe était un vrai sonar. (Rires.) Il y a une contraction que j’ai appris à repérer: de légers spasmes, hors contrôle. Ça, c’est la jouissance.» (Pascal)
«Je me souviens d’une femme fontaine, j’adorais la sentir couler sur moi. J’adore la sensation du mouillé. Ce que je préférais, c’était elle au-dessus de moi qui m’inondait. J’adorais cet abandon.» (Julien)
«Avec ma fiancée, je repère le moment où elle va jouir, et je peux, en me calant sur ses contractions, jouir à l’unisson. Ces moments-là, c’est de la téléportation.» (Sébastien)
«Avec ma nouvelle fiancée, j’ai envie d’être en elle tout le temps. De dormir dedans… Malheureusement, en se retournant, on finit toujours par se séparer.» (Emmanuel)
«C’est mon moment préféré. Avec moi, ce sont toujours les femmes qui finalement se séparent… (Rires.) Surtout ne plus bouger, fermer les yeux, ne pas parler. L’animalité est là, dans ce moment de plénitude, de calme, après le jeu, la fièvre, éventuellement le combat. Peu importe où tu te trouves, ce qui se passe autour: tu ne sens plus les limites de ton corps, tu es en suspens. Et en sécurité. Peut-être parce que c’est un retour aux sources… Dans ces moments-là, on pourrait venir me poignarder ou me cambrioler, je ne réagirais pas. Plus rien n’existe autour. Peut-être même plus l’autre, qui devient une part de toi. C’est un moment très égoïste, en fait, où tu profites pleinement de toi. En mode relaxation. Ç’a à voir avec la spiritualité, avec une sensation mystique.» (Paul)
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