À MOURIR DE RIRE ! MDR !
Pendant le déjeuner au travail la semaine dernière, j’ai mangé trois assiettes de haricots, chose que je n’aurai jamais du faire. Quand je suis rentrée, mon copain semblait heureux de me voir et s’écria joyeusement: «Chérie, j’ai une surprise pour le dîner ce soir.« Il m’a alors bandée les yeux et m’a conduite à table sur ma chaise.
J’ai pris place et au moment où il était sur le point de retirer mon bandeau, le téléphone sonna. Il m’a fait promettre de ne pas toucher le bandeau jusqu’à son retour et se rendit pour répondre à l’appel.
J’ai pris place et au moment où il était sur le point de retirer mon bandeau, le téléphone sonna. Il m’a fait promettre de ne pas toucher le bandeau jusqu’à son retour et se rendit pour répondre à l’appel.
Les fèves que j’avais consommées me dérangeaient encore et la pression devenait insupportable. Et bien, vu que mon copain n’était pas dans la pièce, j’ai saisi l’occasion, et j’ai changé mon poids sur une jambe et j’ai pété. Ce n’était pas seulement fort, mais ça sentait comme un camion d’engrais en train de rouler sur une mouffette devant un dépotoir! J’ai pris ma serviette de mes genoux et j’ai éventé l’air autour de moi vigoureusement. Ensuite, je suis passée sur l’autre jambe, et j’en ai lâché trois autres. La puanteur était pire que le chou cuit. Tout en gardant mes oreilles soigneusement concentrées pour écouter la conversation dans l’autre pièce, j’ai continué à libérer des bombes atomiques pendant encore quelques minutes. Le plaisir était indescriptible!
Finalement, les adieux au téléphone ont marqué la fin de ma liberté, et j’ai rapidement éventé l’air un peu plus avec ma serviette, je l’ai ensuite placée sur mes genoux et j’ai plié mes mains avec une sensation très soulagée et j’étais contente de moi. Mon visage devait être l’image d’innocence quand mon petit amiretourna tout en s’excusant d’avoir pris aussi longtemps. Il m’a demandée, si j’avais jeté un œil à travers le bandeau, et je l’ai assuré, que je ne l’avais pas fait. À ce stade, il a enlevé le bandeau, et 12 convivesétaient assis autour de la table, avec leurs mains sur leurs nez, tout en criant en chœur, «Joyeux Anniversaire».
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